Salzbourg (4)
Comme promis, je vous attends pour continuer la visite de Salzbourg sur le pont qui enjambe la Salzach.
Face à nous la forteresse Hohensalzburg (que nous ne visiterons pas faute de temps).
Nous allons maintenant visiter l'autre rive.
Premier arrêt devant ce "monument". Je ne sais pas du tout ce que c'est !
N'ayant pas eu de guide sur place, c'est grâce à un bouquin que je peux vous donner des renseignements sur la ville. Il se pourrait que je me trompe parfois de bâtiment. Si quelqu'un peut rectifier une erreur, qu'il n'hésite pas !
La cathédrale est le centre de la Vieille Ville. Commencée en 1614, elle sera terminée en 1655.
L'ancienne Résidence des princes-archevêques jouxte les arcades de la cathédrale.
La place de la Résidence confère à Salzbourg la noblesse d'une ville princière.
Le Salzburger Landesmuseum s'est installé dans les magnifiques salles d'apparat de la Nouvelle Résidence en 2006.
La fontaine de la place de la Résidence date des années 1659-1651. C'est la plus grande fontaine baroque hors d'Italie.
Aucune indication pour ce bâtiment qui surplombe un passage voûté.
L'abbaye St-Pierre.
C'est le plus vieux monastère de Bénédictins existant encore en pays germanophone. On se trouve ici dans le berceau de Salzbourg. L'Empire romain laisse la ville ruinée et pillée. Rupert, en créant St-Pierre vers 700, fait revivre la cité.
La basilique romane du monastère est construite entre 1130 et 1143.
Derrière l'abbaye se profile l'église des Franciscains. Située dans la ruelle des Franciscains, c'est un des plus anciens bâtiments de la ville.
Le cimetière Saint-Pierre est, dit-on, le plus beau champ de Dieu au monde.
Situées dans les anciennes grottes, les catacombes appartiennent au cimetière Saint-Pierre.
De là-haut, la vue est imprenable sur la ville et le cimetière.
Nous n'irons pas plus loin, nous devons retraverser la Salzach pour reprendre le car et je voudrais faire un petit arrêt dans le parc Mirabel. Je vous y attends.
La citation du jour : Au milieu de l'hiver, j'ai découvert en moi un invincible été. (Albert Camus)