Haohao et Xinghui
Aujourd'hui, je ne vous emmène pas en Chine, mais dans mon parc préféré : Pairi Daiza et plus particulièrement dans la Cité des Immortels.
Vous allez faire connaissance (si vous ne les connaissez pas encore) avec Haohao et Xinghui.
Pour observer ces gros nounours noir et blanc, il faut donc se rendre à Brugelette, dans ce parc tout d'abord ornithologique qui est devenu, petit à petit, un parc zoologique pas comme les autres.
Haohao et Xinghui sont les deux pandas que tout le monde veut voir. Je suis allé, dès l'ouverture du parc, dans la cité des Immortels où on a recréé une montagne du Sichuan, une forêt de bambous et une grotte tapissée d'améthystes.
J'ai donc eu la chance de pouvoir les photographier à mon aise.
Des bambous coupés sur le ventre, et notre gros nounours prenaient son petit déjeuner sous le soleil matinal.
Pairai Daiza participe à un plan de sauvegarde des pandas (il n'en reste que 1600 au monde). Les femmelles ne sont fécondes que 24 à 36 heures, une fois par an. Le couple vedette assurera-t-il sa descendance? L'avenir nous le dira.
Les deux pandas devraient rester 15 ans dans le parc de Cambron. Pas besoin de courir pour les photographier ! Ils vous attendront!
Le panda géant pèse de 80 à 125 kg. Son régime alimentaire se compose presque exclusivement de bambous (jusqu'à 20 kg par jour).
A l'état sauvage, leur habitat se réduit sans cesse car les hommes abattent de plus en plus les forêts pour l'agriculture et le bois.
Le panda géant est parfois tué pour son pelage (bien que cela soit passible d'une peine de prison, en Chine) ou tombe dans des pièges placés pour d'autres animaux. Le léopard des neiges peut exercer une prédation, en particulier sur des jeunes.
Il est plus difficile de photographier le deuxième panda qui se trouve dans la grotte.
Les pandas font partie d'un grand projet d'élevage en captivité.
Espérons que le parc accueillera bientôt un bébé panda.
La citation du jour : Nos doutes sont des traitres et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon parce que nous avons peur d'essayer. (Shakespeare)