Encore un parc : Mosaïc
Je vous avais dit que les visites de parcs et jardins étaient terminées. C'est que j'avais complètement oublié ce parc situé près de Lille, à Houplin-Ancoisne.
J'ai connu ce parc divisé en dix jardins par l'intermédiaire d'une émission à la télé. Nous y sommes allés après la visite de la piscine de Roubaix. Cela m'était sorti de l'esprit.
Alors, même si nous sommes en hiver, je vous emmène dans ces jardins aux floraisons estivales.
Du parking, un sentier nous emmène vers l'entrée des jardins. Pour y pénétrer, il faudra passer par un wagon !
Un parcours fléché nous emmène vers les jardins à thème.
Dix jardins contemporains rendent hommages aux migrants installés dans la métropole lilloise. Ces jardins mêlent botanique, oeuvres d'art, animaux domestiques rares.
Chacun d'entre eux a été créé par des paysagistes et des artistes plasticiens.
On y va?
Mais qu'y a-t-il au bout de l'étang? Vous voyez?
Attendez ! Je zoome !
Pas mal, n'est-ce pas?
Allez, je fais le tour...
Le jardin premier
Le jardin premier est dédié aux populations du néolithique qui ont foulé la terre de Mosaïc. Des objets et panneaux évoquent leur vie quotidienne.
Une race primitive de moutons : le mouton Racka
Le jardin de Pierre Auvente
Une drôle de construction attire mon regard. Qu'est-ce que c'est? On va voir ça de plus près !
Ce jardin est le premier qui a été créé à Mosaïc. Il rend hommage aux gens du plat pays, aux Flamands et aux Wallons arrivés dans la région à la fin du XIXe siècle.
C'est le pays des géants ! Cette pièce colossale en représente donc un !
Impossible de tout vous montrer en une fois. J'ai fait beaucoup de photos. Je vous laisse donc ici avec les roses trémières, plantes que j'apprécie beaucoup.
On se retrouve dimanche pour "la plante du dimanche" et mercredi prochain dans ce magnifique parc Mosaïc !
Portez-vous bien !
La citation du jour : Malheureux l'homme qui ne sait pas qu'il possède deux grands trésors à l'intérieur de lui-même: la clarté de l'esprit, qui peut le rendre libre, et la bonté du coeur, qui peut le rendre heureux.
Malheureux l'homme qui mène une existence semblable à celle des bêtes, enchaîné à ses instincts et seulement préoccupé des soucis matériels de la vie. (Frédéric Lenoir)